Comprendre le STOP !

Note de Rémy Pécot, fondateur de l’Observatoire du réel publiée en avril 2020

Bonjour,

Les circonstances me conduisent à vous faire part de certaines choses.
L’Observatoire a été créé en 2011, mais dans les faits j’avais initié des conférences dès 2009 principalement pour porter la voix de deux auteurs.

Deux auteurs qui portaient des recherches et des découvertes majeures.

Par majeures j’entends à la hauteur des enjeux civilisationnels auxquels nous sommes confrontés.

Deux auteurs qui par des approches très différentes arrivaient à une même sommation, un même avertissement, tout en apportant des réponses à la hauteur des enjeux.

L’un d’eux vous est connu, il est intervenu déjà au cours de plusieurs conférences. Pour ceux d’entre vous qui ignorent qui est le second, je n’en ai parlé qu’une ou deux fois et cette personne n’est jamais intervenue dans le cadre de l’Observatoire.
Il s’agit d’une femme. Une femme, spécialiste du décryptage kabbalistique. J’ai connu Madame Dominique Aubier bien avant 2009, en 1996 je crois, dans des conditions que je décrirais sans doute plus tard.

Pourquoi vous parler aujourd’hui de cette femme, décédée il y a 6 ans ? Tout simplement parce qu’avant je n’y étais pas autorisé.

Aujourd’hui je voudrais vous relayer ce message qui témoigne sans doute que sa vision, ou plutôt sa compréhension aurait dû être entendue plus tôt. Mais il n’est jamais trop tard.

En quelques mots quel est son apport ?

Jeune écrivain elle a été piquée par le mystère Dom Quichotte. Elle découvre que Cervantès a été instruit, tout comme Giordano Bruno dans les universités les plus avancées que la terre n’a jamais porté dans le domaine de la connaissance. Tous deux, ont suivi ces enseignements et Giordano Bruno pour avoir délivré son message en clair est passé au bucher.

Cervantès, lui comprend que le temps de ce message n’est pas venu. Mais il a un rôle de relais, relais pour l’avenir. Il doit donc écrire pour passer entre les mailles des filets de l’Inquisition tout en restant déchiffrable lorsque le temps sera venu. Il sait que le message sera décrypté au-delà des Pyrénées et par une femme.

Quatre siècles plus tard, Dominique Aubier est amenée à opérer ce déchiffrage. Elle y consacrera sa vie et plus de 30 ouvrages. Deux points pour résumer ce travail :

• Tout d’abord, après avoir étudié, la cosmologie, la zoologie et la neurophysiologie, elle fait un constat. L’évolution de ces trois systèmes obéit aux mêmes cycles évolutifs. Ou pour résumer, l’évolution de notre univers depuis sa création, l’évolution des espèces depuis les premiers protozoaires jusqu’à l’humain et l’évolution de notre cerveau obéissent tous les trois aux mêmes étapes évolutives. Il y a un code, un cycle en 33 étapes sur lequel s’articule tout le vivant. L’élément remarquable est que la Kabbale en décrit le fonctionnement.
• Second point qui nous amène à ce que nous vivons en ce moment : ce système évolutif s’applique à tous les cycles. Celui de notre vie tout entière, de notre relation de couple, de notre vie professionnelle, d’une civilisation, etc. Et parmi ces 33 étapes certaines sont marquantes. L’énergie vitale progresse en 10 étapes depuis la délivrance de l’information initiale en première étape jusqu’à la dixième étape. A compter de la 11e l’énergie se scinde en deux branches, l’une, qu’elle appelle le « qui sait » à droite, l’autre le « qui fait » à gauche. L’Energie circule alors de droite à gauche et de gauche à droite, jusqu’à la 18e étape ou un stop doit être marqué à gauche. L’énergie vitale cesse alors ses échanges latéraux droite gauche, la progression à gauche doit prendre fin définitivement pour basculer intégralement à droite. Ce stop, c’est un interdit prévu par le système. L’Energie doit déserter la gauche et se concentrer à droite vers le « qui sait », la partie sensible. Pourrait-on dire spirituelle ? S’agissant de notre civilisation, elle situait cette étape vers le milieu du 18e siècle. Nous avons brulé cette étape allègrement pour continuer d’investir la partie gauchère et nous avons connu l’industrialisation, deux guerres mondiales, la mondialisation, puis l’électrification, les ondes, la télévision, l’internet et le virtuel. Je me souviens d’une conversation au cours de laque elle expliquait que l’émergence de la télé, de l’internet et du virtuel étaient le résultat d’une sphère non prévue par le système évolutif.

 On entend souvent dire que nous ne savons pas où nous allons. Les interrogations sur le futur ne franchissent pas les frontières des sciences. La prospective s’attache aux projections économiques ou géopolitiques, mais qui s’interroge sur le plan philosophique au sujet de notre futur ? Nous regardons se dérouler le film de notre existence, de notre évolution, mais qui pourrait dire si la direction est celle qui convient à l’humanité ?

Certains êtres plus sensibles, plus connectés, plus à l’écoute en perçoivent les aberrations. On parle aujourd’hui de colapsologie et, percevant que nous ne pouvons poursuivre ainsi bien longtemps, la jeunesse moins formatée et plus sensible, pense trouver son salut dans l’écologie. Bien sûr il est indispensable de préserver notre environnement, mais quel peut être l’avenir d’une humanité qui ne sait pas dans quelle direction le programme du vivant l’oriente ?

Cela aurait pu être la mission peut être des religions en tout cas des prophètes. Mais s’ils existent comment pourraient-il aujourd’hui se faire entendre ?

Je ne maitrise pas l’ensemble de ces 33 étapes ni ne connais cette direction, mais il me semble indispensable aujourd’hui de faire connaitre cette œuvre et cette pensée. Une pensée qui apporte donc deux éléments totalement nouveaux dans un paysage intellectuel et scientifique paumé, sans parler du journalistique ou du politique. Tout est dévoyé. Heureusement il reste quelques philosophes ou historiens pour apporter la contradiction ou même simplement la hauteur de vue dans un paysage médiatique perverti.

Le premier élément nouveau est donc la similarité des ordonnancements invisibles qui président à l’évolution du vivant. Ordonnancement ignoré de notre science qui fonctionne en silos, sans voir que les autres disciplines peuvent receler des similarités sur lesquelles il conviendrait de s’interroger.

Le second, porte sur le coup d’arrêt qui s’impose à nous aujourd’hui, une fois que l’on a admis, d’une part l’existence d’un ordonnancement et d’autre part son séquençage.

Vous trouverez ici un texte inédit, écrit par Dominique Aubier à ce sujet. Il est relayé par le blog de son neveu Dominique Blumensthil qui a été son assistant pendant près de 25 ans et qui poursuit aujourd’hui l’œuvre de sa tante et bien au-delà, son message.

Il me semble urgent de faire connaitre l’œuvre de Dominique Aubier que vous trouverez sur son site www.dominique-aubier.com.

Son livre incontournable est La face cachée du cerveau dans lequel elle décrit cette structure universelle.

A tous ceux qui perçoivent dans leur vie qu’une trame invisible s’y déroule, à tous ceux qui ressentent que des signes s’adressent à eux sous forme de répétitions, synchronicités, allusions, etc. souvent sans en capter le sens profond mais tout en ressentant que quelque chose de signifiant s’adresse à eux en voulant se signaler, vous trouverez à petits pas, dans les travaux de Dominique Aubier les moyens de comprendre ce qui se joue dans votre vie.
Pour le comprendre il faudra entrer dans le fonctionnement sensible de votre cerveau et pour cela le mettre à l’épreuve.

Pour conclure je dirais que, si la France perçoit qu’elle a un destin, qu’elle est investie d’un message à l’attention de l’humanité tout entière, il ne serait pas impossible que le travail opéré par Dominique Aubier y joue un rôle.

Il faudra pour cela admettre que la science seule est incompétente pour appréhender le réel, il lui faut se confronter à la connaissance, dans un dialogue qui reste à initier.

Rémy Pécot