Jean-Pierre Garnier Malet

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Un parcours exceptionnel pour une découverte hors du commun.

Jean-Pierre Garnier Malet, illustre merveilleusement cette citation d’Einstein : “Tout ce qui est vraiment grand et inspiré n’a été réalisé que par des individus travaillant librement”.

Passionné de théâtre et de cinéma le jeune Jean-Pierre Malet suit un cursus de physique, contraint et forcé par son père, militaire, qui ne veut pas qu’il s’oriente vers ces disciplines. Mais, Jean-Pierre veut aller vite et choisi ses certificats de mécanique des fluides de sorte qu’il en passe le plus possible, le plus vite possible. Mais voilà, dès la première année, il passe ces certificats dans le désordre. Pour accéder en année supérieure, il faut une dérogation mais que seul peut octroyer le Président de la République. Son professeur de physique introduit cette demande de dérogation, car il veut conserver le jeune Malet dans son laboratoire.

En attendant une réponse, Malet fait de la bibliographie et passe son temps en bibliothèque. Il y trouve notamment une équation (dite de Laplace Bernouilli) dont l’énoncé est posé en anglais. Jean Pierre l’intègre, mais il lit mal l’anglais et il ne comprend pas que c’est in-intégrable. Son professeur s’en amuse, mais l’équation est bel et bien résolue, alors que la communauté scientifique n’en trouvait pas la solution. De ce fait, de Gaulle octroie la dérogation. Mais les applications de l’équation sont telles qu’on sollicite une publication à l’Académie des Sciences. Jean Pierre Malet est alors le plus jeune a faire l’objet d’une publication à l’Académie. Il est en seconde année. Il faut une thèse, mais on ne passe pas une thèse en 2ième année. Au terme d’un codicille de Pompidou, il obtient une nouvelle dérogation et passe sa thèse d’Etat en 3 ans.

A sa sortie de l’Université, il est sollicité par les ambassadeurs de Russie et du Canada. Il reste en France, intègre le ministère de la Défense. Rapidement il démissionne, obtient par équivalence un diplôme d’architecte et poursuit seul ses recherches fondamentales en physique.

Après une première découverte essentielle sur les propriétés du temps en 1988, il se consacre pendant 10 ans souvent 18h par jour pour découvrir en 1998 la loi du dédoublement du temps.

Pour témoigner sa reconnaissance à sa femme qui l’a soutenu contre vents et marées il adjoint son nom à toutes ses publications et signe désormais Jean-Pierre Garnier Malet.

Il publie dès lors 4 publications majeures à référés. En 2006, il reçoit un Best Paper Award de l’American Institute of Physics (AIP). Mais si l’autonomie lui a permis de penser sans contraintes, il a du mal, seul, isolé, sans le soutient d’un laboratoire, à faire valoir une loi qui remet en cause de nombreux paradigmes et ouvre des portes qui dépassent celles de la physique.

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Liens

Site Internet de Jean-Pierre Garnier Malet : www.garnier-malet.com